
AREA DEMOCRATICA
|
BLOG: http://www.areademocratica.blogspot.com/
|
|
HORIZON 2020
Utenti che stanno guardando questo topic:0 Registrati,0 Nascosti e 0 Ospiti Utenti registrati: Nessuno
|
       |
Autore |
Messaggio |
erika
Registrato: 04/01/07 08:32 Messaggi: 786
|
|
Come preannunciato ieri sono andata a seguire la conferenza organizzata da Renouveau.
Per fortuna è stata fatta dopo il congresso altrimenti i toni sarebbero stati totalmente diversi.
Bellissimo l'intervento del segretario del SAVT che sostiene di essere l'unico sindacato in difesa
del francese e che denuncia il fatto che gli insegnanti sono pagati dalla Regione, ma seguono il contratto nazionale.
Ottima l'analisi di Andrione e le suggestioni apportate in merito all'Università della Valle.
Ma il mio compaesano illustre, Dino, è stato molto bravo ad evidenziare che la scuola dev'essere sì migliorata,
ma è contrario al progetto presentato e soprattutto ritiene che deve essere aperta a tutti.
 |
|
Torna in cima |
|
Adv
|
|
Torna in cima |
|
erika
Registrato: 04/01/07 08:32 Messaggi: 786
|
|
Renouveau Valdôtain exprime sa satisfaction pour la réussite de la rencontre-débat, au titre Horizon 2020. Quelle école pour quel futur ?, qui a eu lieu jeudi 31 mai 2007 à 21h00, à Aoste, dans la petite salle du Palais régional. La salle était bondée et pas tout le monde a pu assister au débat – modéré par Mme Patrizia Morelli de Renouveau Valdôtain – ne pouvant la salle, d’après la loi 626/1994, accueillir un nombre supérieur de personnes.
Le public, fort motivé, a applaudi les interventions des rapporteurs hôtes, Mme Patrizia Bongiovanni, Surintendante aux études, et M. Pietro Passerin d’Entrevès, Recteur de l’Université de la Vallée d’Aoste, qui ont tracé un cadre exhaustif sur l’école valdôtaine et l’Université de la Vallée d’Aoste.
Les rapporteurs de Renouveau Valdôtain, Mme Chantal Certan et M. Etienne Andrione, ont souligné que l’état lamentable, inefficace, absolument pas conforme au Statut d’autonomie et, à certains points de vue, carrément raciste du système « éducatif » valdôtain – des écoles maternelles à l’Université – n’échappe à personne et, donc, ils ont essayé à lever le voile sur cette situation fâcheuse en illustrant au public la position de Renouveau Valdôtain à l’égard des améliorations et des réformes que le mouvement autonomiste souhaite apporter aux systèmes de l’école et de l’Université valdôtaines. La position de Renouveau Valdôtain, bien expliquée et éclaircie dans les documents adoptés le 16 décembre 2006 par les adhérents présents à l’Assemblée constitutive de Nus, peut ainsi être résumée.
Dans une région bilingue où la frontière linguistique n’est pas formellement définie et où les deux groupes linguistiques ne jouissent pas de structures socio-économiques propres, les deux langues entretiennent un rapport hiérarchique qui porte inévitablement à la substitution de la langue la plus faible par celle qui jouit du plus grand nombre de ressources. Dans notre Région le système d’école bilingue, souvent vanté comme modèle idéal, n’a pas fonctionné et s’est révélé un instrument létal pour l’assimilation de notre culture. L’étude d’un vaste plan pour l’école valdôtaine, donc, s’impose. Le choix serait libre – ce qui exclut ipso facto quelque forme de ségrégation que ce soit – puisque le principe inspirateur de l’étude d’une langue par immersion, qui est à la base de la filière francophone, est la formation d’hommes libres. Il faut que chaque personne soit libre de choisir en quelle langue s’instruire. L’école francophone, donc, devra être de libre accès et devra prévoir le français comme langue d’enseignement de toutes les matières, sauf celles linguistiques ; l’enseignement de l’italien ; la présence du francoprovençal dans des modalités à définir ; une forte présence de l’anglais et des nouvelles technologies ; en plus, devra employer des enseignants maîtrisant parfaitement les langues. Parallèlement, l’école pour ceux qui choisiront de ne pas s’instruire en français devra supprimer le « bilinguisme intégral », qui a failli son but, et devra offrir les mêmes chances de formation que l’école francophone dans toutes les matières (il n’y aura aucune « formation d’élite » ni dans l’une ni dans l’autre filière, car toutes deux devront être de très bon niveau).
Pour ce qui concerne l’Université de la Vallée d’Aoste, Renouveau Valdôtain croit qu’une politique sérieuse doit prendre la relève en ce domaine. Une Région si petite que la nôtre ne peut pas se permettre de doubler simplement de cours universitaires que les jeunes valdôtains pourraient fréquenter ailleurs, tels que Psychologie ou Science politique, mais on doit obligatoirement se pencher sur des domaines d’études qui n’existent pas ailleurs, qui soient liés aux caractéristiques de notre région, qui puissent attirer nombre d’experts du monde entier et qui puissent donner lieu à la naissance d’une production locale de qualité. Quelques possibilités, à titre d’exemple : agriculture de montagne de haut niveau et biotechnologies qui y sont liées (production possible de produits de niche de haute valeur et à la sûre commercialisation), l’hydrogène (usage massif de l’énergie produite en Vallée d’Aoste pour une production d’avenir), les énergies renouvelables (y compris le photovoltaïque et l’éolique), la géologie et la minéralogie (techniques d’extraction, exploitation du sol). Voilà des domaines où la Vallée d’Aoste pourrait devenir fortement spé******ée, un pôle de formation unique, performant et ancré sur le territoire. |
|
Torna in cima |
|
giorgio
Registrato: 06/01/07 01:27 Messaggi: 4558
Località: Aosta
|
|
erika ha scritto: | Renouveau Valdôtain exprime sa satisfaction pour la réussite de la rencontre-débat, au titre Horizon 2020. Quelle école pour quel futur ?, qui a eu lieu jeudi 31 mai 2007 à 21h00, à Aoste, dans la petite salle du Palais régional. La salle était bondée et pas tout le monde a pu assister au débat – modéré par Mme Patrizia Morelli de Renouveau Valdôtain – ne pouvant la salle, d’après la loi 626/1994, accueillir un nombre supérieur de personnes.
Le public, fort motivé, a applaudi les interventions des rapporteurs hôtes, Mme Patrizia Bongiovanni, Surintendante aux études, et M. Pietro Passerin d’Entrevès, Recteur de l’Université de la Vallée d’Aoste, qui ont tracé un cadre exhaustif sur l’école valdôtaine et l’Université de la Vallée d’Aoste.
Les rapporteurs de Renouveau Valdôtain, Mme Chantal Certan et M. Etienne Andrione, ont souligné que l’état lamentable, inefficace, absolument pas conforme au Statut d’autonomie et, à certains points de vue, carrément raciste du système « éducatif » valdôtain – des écoles maternelles à l’Université – n’échappe à personne et, donc, ils ont essayé à lever le voile sur cette situation fâcheuse en illustrant au public la position de Renouveau Valdôtain à l’égard des améliorations et des réformes que le mouvement autonomiste souhaite apporter aux systèmes de l’école et de l’Université valdôtaines. La position de Renouveau Valdôtain, bien expliquée et éclaircie dans les documents adoptés le 16 décembre 2006 par les adhérents présents à l’Assemblée constitutive de Nus, peut ainsi être résumée.
Dans une région bilingue où la frontière linguistique n’est pas formellement définie et où les deux groupes linguistiques ne jouissent pas de structures socio-économiques propres, les deux langues entretiennent un rapport hiérarchique qui porte inévitablement à la substitution de la langue la plus faible par celle qui jouit du plus grand nombre de ressources. Dans notre Région le système d’école bilingue, souvent vanté comme modèle idéal, n’a pas fonctionné et s’est révélé un instrument létal pour l’assimilation de notre culture. L’étude d’un vaste plan pour l’école valdôtaine, donc, s’impose. Le choix serait libre – ce qui exclut ipso facto quelque forme de ségrégation que ce soit – puisque le principe inspirateur de l’étude d’une langue par immersion, qui est à la base de la filière francophone, est la formation d’hommes libres. Il faut que chaque personne soit libre de choisir en quelle langue s’instruire. L’école francophone, donc, devra être de libre accès et devra prévoir le français comme langue d’enseignement de toutes les matières, sauf celles linguistiques ; l’enseignement de l’italien ; la présence du francoprovençal dans des modalités à définir ; une forte présence de l’anglais et des nouvelles technologies ; en plus, devra employer des enseignants maîtrisant parfaitement les langues. Parallèlement, l’école pour ceux qui choisiront de ne pas s’instruire en français devra supprimer le « bilinguisme intégral », qui a failli son but, et devra offrir les mêmes chances de formation que l’école francophone dans toutes les matières (il n’y aura aucune « formation d’élite » ni dans l’une ni dans l’autre filière, car toutes deux devront être de très bon niveau).
Pour ce qui concerne l’Université de la Vallée d’Aoste, Renouveau Valdôtain croit qu’une politique sérieuse doit prendre la relève en ce domaine. Une Région si petite que la nôtre ne peut pas se permettre de doubler simplement de cours universitaires que les jeunes valdôtains pourraient fréquenter ailleurs, tels que Psychologie ou Science politique, mais on doit obligatoirement se pencher sur des domaines d’études qui n’existent pas ailleurs, qui soient liés aux caractéristiques de notre région, qui puissent attirer nombre d’experts du monde entier et qui puissent donner lieu à la naissance d’une production locale de qualité. Quelques possibilités, à titre d’exemple : agriculture de montagne de haut niveau et biotechnologies qui y sont liées (production possible de produits de niche de haute valeur et à la sûre commercialisation), l’hydrogène (usage massif de l’énergie produite en Vallée d’Aoste pour une production d’avenir), les énergies renouvelables (y compris le photovoltaïque et l’éolique), la géologie et la minéralogie (techniques d’extraction, exploitation du sol). Voilà des domaines où la Vallée d’Aoste pourrait devenir fortement spé******ée, un pôle de formation unique, performant et ancré sur le territoire. |
 _________________
«Guai se i giovani di oggi dovessero crescere nell'ignoranza, come noi della "generazione del Littorio".
Oggi la libertà li aiuta, li protegge. La libertà è un bene immenso, senza libertà non si vive, si vegeta»
Nuto Revelli |
|
Torna in cima |
|
erika
Registrato: 04/01/07 08:32 Messaggi: 786
|
|
Una domanda:
ma come mai il nostro partito, i sindacati di categoria e i partiti dell'AAP non dicono nulla in merito????
Se la medesima cosa fosse stata proposta dall'UV la reazione sarebbe stata la stessa?
Mi ricordo benissimo che quando questa proposta era stata fatta dalla jeunesse la SG aveva sollevato le spade e gli scudi per denunciare il principio di uguaglianza in un ambito come questo e ora? Cos'è cambiato???? |
|
Torna in cima |
|
|
|
|
Non puoi inserire nuovi Topic in questo forum Non puoi rispondere ai Topic in questo forum Non puoi modificare i tuoi messaggi in questo forum Non puoi cancellare i tuoi messaggi in questo forum Non puoi votare nei sondaggi in questo forum Non puoi allegare files in questo forum Puoi scaricare files da questo forum
|
|